Fuyant la froideur et la monotonie de l’hiver parisien, je suis parti quinze jours en Inde en février.

Je pensais en ramener un bouquet de portraits tant humains qu’animaliers ; je pensais faux.

Ce qui m’a le plus happé là-bas fut la couleur, ou devrais-je dire, les couleurs. Et pour le coup on parle bien d’un vrai bouquet de couleurs.


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